ELECTROPOLIS FESTIVAL

Date:  VENDREDI 19/01/2018 Lieu:  BPS22 / BPS22 Ouverture:  20:00 Sur place:  18€/30€
ELECTROPOLIS FESTIVAL
Concerts Concerts



Le Rockerill et le BPS22 présentent l'Electropolis Festival. Un nouveau concept où arts visuels, arts plastiques et musiques électroniques ne font qu'un. #electropolisfestival

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// ATTENTION /// Le festival se déroule au BPS22 (Boulevard Solvay 22, 6000 Charleroi) et non au Rockerill. 
http://www.bps22.be/fr/Acces


â–¬ LINE UP â–¬

VENDREDI 19

Nightmares On Wax (dj set) 
Superpoze (live) 
DC Salas (live) 
PURE
Irezumi Manuel-M

SAMEDI 20

Nathan Fake (live)
Romare (dj set) 
Weval (live)
MILES BLOO
DORIAN
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Night & Day: https://www.librairie.be/tickets/electropolis-charleroi-19-01-amp-20-01/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


TICKETS
TICKETS
CONCERT

23:30 SUPERPOZE (FR)
22:00 WEVAL (NL)
23:45 NATHAN FAKE (UK)
22:00 DC SALAS (LIVE) (BE)
20:45 MILES BLOO (BE)
20:45 PUREFALL (BE)

DJ

01:00 NIGHTMARES ON WAX (UK)
01:00 ROMARE (UK)
20:00 DORIAN (BE)

EXPO

FRÉDÉRIC PLATEUS (BE)
DONALD VAN CARDWELL (BE)
BRUNO PEINADO (FR)
SUSANNE BÜRNER (DE)
XAVIER MARY (BE)
SUPERPOZE
Electro

Deux ans après la sortie de son premier disque Opening et une tournée mondiale, le producteur caennais est de retour avec" For We The Living" (Mille Records / A+LSO). L'album s'intéresse aux catastrophes naturelles et à la fascination de l'homme pour la fin du monde, le tout sur une ambiance électronique, planante, atmosphèrique. 

WEVAL
Electro

Le duo Harm & Merijn a commencé dans l'industrie du film, c'est là que ces deux âmes se sont rencontrés en 2010. Ils se découvrent un amour commun pour la musique électronique, et décident de s'associer sous le nom Weval. Aujourd'hui sur le label Kompakt, les hollandais continuent de produire un mélange entre trip-hop, house et influences jazz. 

NATHAN FAKE
IDM / Ambient / Electro
Voilà cinq ans que l'on attendait que Nathan Fake nous offre de quoi "binge-listener".   Avec son nouveau long format “Providence”, et notamment le titre “DEGREELESSNESS”, l’Anglais place définitivement sa production musicale aux rangs des productions non-dancefloors.   Découvert à l’aube des années 2000 pour sa musique électronique à la fois onirique et mentale, l’anglais Nathan Fake signe son grand retour. Celui qui a grandi au sud de l’Angleterre, bercé par Aphex Twin et Orbital, continue les expérimentations musicales électroniques. Comme d’autres comparses (Clark, Actress…), le producteur mêlent techno minimale, IDM, musique noise et ambient.
DC SALAS (LIVE)
Electro

Co-fondateur du label Biologic Records, DC Salas fait figure de surdoué dans les musiques électroniques, il n'y a qu'à observer son parcours artistique... A 15 ans, il anime une émission de radio, puis il devient DJ résident dans un club de Bruxelles (Wax) et directeur artistique dans un autre (Mr. Wrong). Après plusieurs EP et des projets parallèles (Polar, Mugwump et Los Niños Del Parque) Diego Cortez Salas est en live sur scène aujourd'hui pour promouvoir son premier album, The Unspoken. 

MILES BLOO
Pop / Electro
Après l'électro avec les Subs, puis Highbloo et Slightlious, deux créations solo, Luca Di Ferdinando revient sur le devant de la scène avec Miles Bloo, un nouveau groupe plus pop et populaire.   Ancien étudiant batteur au Conservatoire de jazz de Bruxelles, le musicien clairement influencé par la mouvance électro souhaite aujourd'hui raconter l'histoire "d'un être humain en lutte avec lui-même pour être en accord avec le monde et, un jour peut-être, y trouver sa place." Tout un programme donc, dévoilé sur son premier EP à trois morceaux, Blindness, sorti sur le label News.
PUREFALL
Dream Pop / Alternative / Abstract / Pop

""Arrangements de synthés luxuriants et guitares électriques esquissent ici les contours d'un univers qui évoquent les envolées de M83, les tourments de Slowdive ou la musique de The xx. " Larsen Mag

Enregistré l'été dernier avec Tim De Gieter (Amenra, Brutus, Doodseskader), le trio carolo PUREFALL débute cette nouvelle année avec l'EP 3 titres "SOLACE"! 


NIGHTMARES ON WAX

Artiste emblématique du label Warp Records, Nightmares on Wax nous fait danser depuis plus de 20 ans. Une combinaison desons électroniques et de rythmes Hip-Hop qui a forgé ses sonorités au fil des productions. Actuellement basé à Ibiza, le roi du cill-out revient avec un morceau "Back to nature", qui représente la quintessence même de l'artiste ; un voyage musical langoureux et émouvant, délicatement produit, autour de l’homme et son rapport à la nature. 

ROMARE
Electro / Down Tempo

Romare - prononcez "romère" - est Anglais, mais c’est plutôt de la culture africaine qu'il s’inspire. Son nom vient de Romare Bearden, artiste Américain mort en 1988 qui exprimait sa vision de l’Afrique à travers des collages. Romare fait quant à lui la même chose, mais en musique. En utilisant des samples provenant de vieux documentaires, il produit un son liant instrumentations africanisantes, voix perchées et musique électronique.

DORIAN

Dorian plonge littéralement dans la musique dès l'âge de 8 ans via un parcours instrumental et académique complet. Plus tard, il se lance comme DJ et devient un trublion de la nuit, proposant des sets au spectre musical large. Il a ses habitudes aux platines du Rockerill, de l'Eden, du PBA ou encore du Bar du Matin. Il est avant tout un passionné de musiques et volontiers un promoteur de nouveaux talents. 

FRÉDÉRIC PLATEUS

Hyperfuse. Collection de la FWB. Dépôt au BPS22, Charleroi.   Pour cette œuvre, Frédéric Platéus aka Rec(to), grande figure du graffiti belge, a transformé ses lettrages en sculpture. Il s’agit d’une modélisation en 3D d’un « Rec », le tag initial de l’artiste, cette fois dans le « wild style » (style sauvage), beaucoup plus anguleux et fait de diagonales serrées, écrasant les caractères en lettres compactes. Elle est produite dans un style qui évoque aussi bien le tunning de voiture de sport que les « aparelhagem » des DJ de techno-brega, au Brésil. Les lumières accentuent encore les références aux mondes urbain et de la nuit.
DONALD VAN CARDWELL

Membre du collectif Dirty Monitor. 

BRUNO PEINADO

The Endless Summer, aluminium laqué blanc et néons, 2005. Collection de la Province de Hainaut. Dépôt au BPS22, Charleroi.   Peinado aime détourner les figures culturelles et jouer avec des références qui mixent haute et basse culture. Il s’agit d’un smiley géant, illuminé en permanence par un néon. Le smiley rappelle l’émoticone du langage contemporain mais aussi le signe qui figuraient sur certaines pilules d’extasy. Le sourire permanent, la fête interminable, évoque l’allégresse du monde de la nuit, tandis que l’ombre noire dessine, sur les bords, une menace sourde. 
SUSANNE BÜRNER

50.000.000 can’t be wrong – film, 2006. Collection de la Province de Hainaut. Dépôt au BPS22, Charleroi.

Cette vidéo est une compilation de scènes d’hystérie provoquées par une star qui n’apparaît jamais. Ces scènes semblent avoir été tournées dans les années 60. Seuls les fans sont montrés, car ils constituent un nouveau groupe social, aux comportements jusqu’alors inconnus. L’identité de la star est néanmoins suggérée par le titre 50.000.000 can’t be wrong (50.000.000 de personnes ne peuvent pas se tromper) ; référence au procédé commercial utilisé par les promoteurs d’Elvis Presley pour favoriser les ventes de disques en utilisant l’argument du nombre. Les scènes d’hystérie attestent la « révolution » potentielle que représentait le « King », notamment par ses déhanchements jugés alors « obscènes » ; mais elles sont aussi un témoignage du danger que peut représenter une personne disposant d’un tel pouvoir émotionnel sur des foules d’individus, et ce, à peine plus de dix ans après la Seconde Guerre mondiale.
 

XAVIER MARY

Profilés isodrain, câbles, contrôleur DMX. Collection de la Province de Hainaut. Dépôt au BPS22. Le travail de Xavier Mary relève clairement d’une sensibilité minimaliste. Mais son intérêt pour la sophistication formelle et une certaine tension dramatique troublent profondément toute lecture purement formaliste. La réécriture du minimalisme se fait ici de manière intuitive et énergique. Nourries de métaphores autoroutières et de références divers, comme les sous-cultures dragsters, techno et trucker, ses sculptures à l’allure industrielle créent un jeu allusif et jubilatoire entre forme minimale et univers psychotropes, entre radicalité et divagations sous acide. Par le recours aux capacités combinatoires d’éléments préfabriqués et standardisés, les compositions se font écho et nous mettent face à des jeux de symétrie, d’éclatement et de dédoublement, en boucle, à l’infini, dérives psycho-géométriques.