LES APÉROS INDUSTRIELS

Le groupe Bijou est un trio (Vincent Palmer à la guitare, Philippe Dauga à la basse et Dynamite à la batterie) qui débute à la fin des années 1970. Augmenté d'un 4e membre non-musicien, Jean-William Thoury, parolier et manager du groupe (et également journaliste rock).

Assimilé au mouvement Mod (dans la lignée des Jam et des Who), mais aussi au nouveau rock français de l'époque avec Téléphone et Starshooter.
Fort d'un succès d'estime auprès de la presse, Bijou peine à faire une vraie carrière mais reste un groupe qui a laissé une trace à l'instar des légendaires Dogs.

Bijou participe au premier festival du mouvement punk, à Mont-de-Marsan le 21 août 1976 ainsi qu'à sa seconde édition les 5 et 6 août 1977.
Serge Gainsbourg s'est produit avec eux sur scène (avec une reprise de sa chanson Les papillons noirs) et cela a d'ailleurs amené le retour à la scène de celui-ci en 1979.

Dans les années 2000, Philippe Dauga a reformé le groupe, un groupe en tout cas qui reprend le répertoire, aspire à retrouver l'esprit, et se nomme Bijou svp ! Depuis septembre 2009, Jean-Paul Martinez les accompagne aux claviers. Aujourd'hui, le groupe se compose de Philippe Dauga (basse-chant), Ffrantz Grimm (guitare) et Jo Matiss (batterie) 

Energie froide et puissance dance floor, une promesse tenue pour le duo Bordelais Post Punk à l'occasion de la sortie de leur deuxième album "Modern" chez Icy Cold Records (Paris, 2022).

Après des tournées dans toute l'Europe avec leur un premier album remarqué "Unterwelt" chez Manic Depression Records (Paris) en 2017, "Modern" marque le retour de leur Post Punk urgent qui mélange électronique, basses et guitares saturées, rythmique hypnotique, textes engagés en français, allemand et anglais teintés de réalisme poétique. Un écho au monde d'aujourd'hui.

Ulysse est alors né, déployant cet asphalte lunaire que les jeunes créateurs savent ressentir innocemment. Car il s'agit bien de cela: créer ce que l'on peut, comme on peut et au plus proche de soi-même. Et ce même s'il faut répéter dans un "hangar industriel", "une cave mal insonorisée" en recueillant quelques visites policières ou encore en allant "quémander une connexion au seul endroit de civilisation proche, à savoir une friterie" lors d'une répétition en douce campagne...

groupe carolo des seventies (1973-1982) qui proposait une musique aux sonorités cosmiques entre le free jazz, le kraut et l'industriel.

Leur double album, Kosmic music from the Black country, vient de sortir chez Sub Rosa !

Dépêchez-vous car le mythe Kosmose est en marche ...

Véritable star au pays au pays du soleil levant, il fait ses premières armes sur le label de référence R&S dès 92. Ensuite tout s'enchaîne très vite. Les dates à travers la planète se succèdent, les maxis aussi, et c'est avec l'album « Jelly Tones » en 95 qu'il finit par mettre tout le monde d'accord. Son univers puissant, emprunt de soul urbaine, fait la différence. Il se verra commander l'hymne des Jeux Olympiques de Nagano, comme des musiques de films, tout en tournant avec son dj set tout autour du globe.

Considéré comme un des compositeurs les plus originaux de la planète Techno, il agrémente ses compositions d'expérimentations sonores qui lui valent sa réputation d'extra terrestre musical.

Il incorpore dans ses tracks les bleeps de l'electronica et fait souffler sur chacun de ses beats un esprit à la puissance breakbeat, appuyé par une approche avant-gardiste.
Ses rythmiques pourtant descendantes directes de la techno pure et dure période Tresor, possèdent cette puissance qui scotche n'importe quel danseur sur le dancefloors avec une classe immense et stupéfiante, sur lesquelles semblent se déverser des tonnes de chaos maîtrisées.

Organisateur depuis fin des années 90 et dj depuis plus de 20 ans, voilà les deux grandes passions de Globul. Son parcours s'initia fin des années septante en découvrant des artistes tels Pierre Henry, ou Marvin Gaye, mais surtout cet énigmatique groupe appelé "Kraftwerk". le ton etait donné ! S'en suivira un engouement pour toute la génération new wave, punk & industrielle, à travers d'artistes comme The Clash, Tuxedemoon, Grauzone, Front 242, Nitzerebb ou Neon Judgment, Globul commença à animer de nombreuses soirées et s'occupa de plusieurs émissions de radios locales. Fin des années 80, il se rendit en Espagne ou il fut résident dans différents clubs à San Sébastian et Santander. Ses sets sont connus pour être variés et fortement chargés en sonorités disco, acid, Tech, Detroit, un mélange éclectique entre les sons Old School & New school :  la deep-tech & les rythmes tribaux, Son plaisir, c' être en osmose totale avec le public grâce à une programmation originale et non linéraire. 

Pionnier de l'electronic body music, Front 242 est sans aucun doute la référence électro de notre royaume. Issu du mouvement industriel assimilé au mouvement new wave des années 80, le groupe a livré une dizaine d'albums au long de sa carrière dont le fameux "Front by Front" en 88. Leur influence est aujourd'hui considérable et le front a été cité par Marilyn Manson, nine inch nails, prodigy et new order pour ne citer qu'eux…

Né en 1974 Ralph a commencé à s'intéresser à la musique dès l'âge de 13 ans avec les sons de prince et de la funk de Motown.

Après un passage par la new wave de Nitzerebb, Front 242, Fad Gadget... il découvrit en 1987 les sons de la New beat et de l'Acid House de cette époque.

Des groupes tels que Phuture (acid Tracks), Kaay Alexi Shelby, Jack Frost l'ont fortement influencé. En 1992 il commença sérieusement le djing dans un style plus orienté vers la dark techno de détroit et l'acid de Brooklyn. C'est à travers ses bookings dans toute la Belgique qu’il pu peaufiner son art.

Il est également co-organisateur des soirées (Always Underground,Sound Memory) et co fondateur et producteur sous le label Atlante.

Warm-Up expérimental et instrumental made in 80ies. 

Se qualifiant plus de passeur de disques que de DJ, Curver n'en aime pas moins construire des univers sonores sur base des morceaux qu'il choisit. A l'invitation des Festivals de Wallonie, il a revisité son patrimoine discographique à l'aune d'une fusion entre la musique classique et l'électronique, prolongement aux platines de ce mariage d'un soir audacieux avec le Rockerill.
On retrouvera à ses côté le VJ Johan Flamey, alias Mydatah. A la recherche incessante de nouvelles techniques, son univers repose sur des formes graphiques en tout genre. Mydatah « revisite » ainsi d'anciens films noir et blanc d'un autre temps et les mixe couche après couche avec des jeux de lignes graphiques. Cette construction minutieuse est effectuée, en totale improvisation, au fil de la musique diffusée!