APUNKALYPSE NOW !

À partir de 2026, The Kids fêteront un demi-siècle de punk dans ce qu’ils appellent eux-mêmes leur « Bloody Belgium ». Le chanteur et leader Ludo Mariman a découvert à l’époque dans ce genre musical une forme d’expression idéale, bâtissant une œuvre composée de cinq albums studio et un album live. Il n’aurait sans doute jamais imaginé qu’il partagerait un jour la scène avec des groupes mythiques tels que les Sex Pistols, Buzzcocks ou New York Dolls lors des Lokerse Feesten. Mais The Kids n’ont rien à leur envier. Leur album éponyme THE KIDS (1978) a surtout laissé une empreinte indélébile dans l’histoire du punk, en Belgique comme à l’étranger.

Depuis, le groupe n’a jamais cessé d’être actif. Citez n’importe quelle scène en Belgique, et The Kids s’y sont sans doute produits. Depuis 2008, ils ont en outre enchaîné les tournées internationales, qui les ont menés aux États-Unis, au Mexique, au Japon, en Turquie et dans toute l’Europe de l’Ouest.

Aujourd’hui encore, l’ADN du groupe demeure inchangé. Comme l’écrivait un jour Guy Mortier dans Humo : « The Kids jouent le punk tel qu’il doit être : vif et rapide, enthousiaste et mordant, avec d’excellentes compositions sans prétention. »

Pour ceux du fond de la classe qui seraient endormis depuis 2006, Le Prince Harry, duo liégeois, avec à son actif deux splits et trois albums, s’apprête à arracher vos neurones un par un à coup de guitares et synths diaboliques.  

Considérez chacun des nouveaux morceaux du Prince Harry comme ceci : une porte géniale menant tout droit à une Forbidden Zone, où le roi, la reine, le nain, les filles nues et le Seigneur des Ténèbres, tous en surdose de stéroïdes, les yeux exorbités et le corps en sueur, viendraient transformer la sixième dimension en backroom aux murs suintant et à l’air saturé de vapeurs de poppers.

Attention !

C'est du punk rock

C'est Belge ! du pur pays Noir ...

.... attachez vos ceintures, ça va flasher sec !

Papiers s'il vous plait !

Cette année, les Radars s'invitent en dernière minute pour inaugurer les Fêtes de la Musique ...

Un set bref, rapide, intense. Des Riffs acérés, des mélodies accrocheuses, un tempo Volle Gaz; Et pour entourer nos 3 voyous du macadam, une nana sexy qui hurle ses compos comme si elle devait faire fuir un combi de flics venus contrôler le certificat d'immatriculation de sa vieille ford GT ! Take care les gavroches...Les radars sont en ville et ils comptent bien enfoncer le champignon !

Clone improbable de Joë Ramones, Johnny promène sa fluide silouhette entre les platines des bars les plus enfumés du Plat Pays. Sa pile de 45 T sous son perfecto, il a pour mission sacrée de prêcher la mauvaise parole et le crachat acidulé. Parfois il passe un vinyle aussi ... en général c'est une perle rare. Alors Johnny l'enlève vite fait de la platine et la remet dans sa pochette pour ne pas le griffer. Puis il allume une clope, boit un coup à sa bière. Et la soirée passe .... vite !

Part time punk…part time funk !

Après avoir traîné ses Nun Chaku sur les nombreuses scènes du globe avec d'improbables et obscurs groupes belges, Johnny Guerrero, l''Elvince" du post punk et de la dub est de retour sur les planches du Rockerill... Hate & War !

Organisateur depuis la fin des années 90 et DJ depuis plus de 20 ans, voilà les deux grandes passions de Globul. Son parcours s'initia fin des 70's en découvrant des artistes comme Pierre Henry, Marvin Gaye, mais surtout cet énigmatique groupe appelé "Kraftwerk". Le ton était donné! S'en suivra un engouement pour toute la génération new wave, punk & industrielle, à travers des artistes comme The Clash, Tuxedemoon, Grauzone, Front 242, Nitzer Ebb ou encore Neon Judgment. C'est à ce moment qu'il commença à animer de nombreuses soirées et s'occuper de plusieurs émissions de radios locales. Fin des années 80's, il se rendit en Espagne où il fut résident dans différents clubs à San Sebastian et Santander. Ses sets sont connus pour être variés et fortement chargés en sonorités disco, acid, Tech, Detroit, un mélange éclectique entre les sons Old School & New school, la deep-tech & les rythmes tribaux. Son plaisir, c'est d'être en osmose totale avec le public grâce à une programmation originale et non linéaire.